AIDER SON PROCHAIN PEUT LE SAUVER DE LA MISERE ET DE LA MORT

Moussa, Messoud et Ali étaient de très bons amis. Habitant des campements voisins, ils fréquentaient la même école coranique. Le matin de bonne heure, avant que le soleil ne se lève, ils allumaient un grand feu pour se réchauffer et pour éclairer leurs tablettes sacrées, striées d’une écriture aux gros caractères serrés. Épaule contre épaule, assis tout près du feu, ils s’adonnaient avec joie à la lecture (...)