Extrait de la page 11 et sa traduction par Abdallahi

L’année exhalait ses derniers soupirs. En ce 31 décembre, jour particulier pour le reste de la planète, la nuit tombait doucement dans l’indifférence générale. La lumière du jour se mourait en une lente agonie, drapant l’horizon d’un dégradé de couleurs chaudes, vision démentie par un vent froid soufflant de l’est et que les habitants frileux de ces contrées habituellement chaudes qualifient de glacial. Le (...)